Mon visage nu dans les heures brûlées
les rêves de la peau me submergent
douce clarté des jours ensoleillés
à chaque fois juste une image
messages inconnus sur les voies
d’où je viens par un long cri
flots intemporels malgré les peurs
une force interne au bord des eaux
la clameur aux multiples visages
comme rarement se rapproche
par défaut le temps me change
le vieux témoignage sous mon toit
où cohabitent les nuits solitaires
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