L'ÉVEIL
En cet instant suprême
qui ne veut pas mourir
Un infini d'espace et de lumière
où l’heure exquise et solitaire
reconnaît le soleil soudain
Les branches dépouillées
Les mains entrelacées
Les heures fortunées
Tout au fond d'un lointain souvenir
au milieu de la douceur des choses
les arbustes se reconnaissent
Ces nuages qui passent
et je m'imprègne aux forêts
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