Monday, March 25, 2019

L'ÉVEIL





En cet instant suprême
qui ne veut pas mourir

Un infini d'espace et de lumière
où l’heure exquise et solitaire
reconnaît le soleil soudain

Les branches dépouillées
Les mains entrelacées
Les heures fortunées

Tout au fond d'un lointain souvenir
au milieu de la douceur des choses
les arbustes se reconnaissent

Ces nuages qui passent
et je m'imprègne aux forêts

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