LUZ
Couchée sur mon papier
Ou l'ancien envoûtement
Comme un violon accordé
Pour qu'enfin je repose
La forêt suspendue au néant
S’épanche en harmonies
De cœurs brisés et battants
à l'abandon imaginaire
Au travers de toutes les saisons
On fauche le vent faible et sage
Òu les chemins mènent à l'errance
Tombés dans l’oubli sublime
Regard singulier - rayon blanc
Qui restera pour l'infini
Comme maquillage en poésie
Me fait pousser des ailes de rêve
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